QUI SOMMES NOUS?
12 mars 2010
BAZE CRÉOLE organise une grande soirée dansante le samedi 3 avril 2010, à la salle des fêtes située au chemin noël robion 13821 la penne sur huveaune.
Les bénéfices de ce concert seront entièrement reversés au secours populaire français déjà sur place en Haïti "dans le quartier de canapé vert".
BAZE CRÉOLE sollicite votre présence afin de nous aider à réaliser notre projet à but caritatif.
Nous vous précisons que les membres de BC ont sollicité pour vous des artistes professionnels et talentueux.
La sonorisation sera la même pour T-VICE ou CARIMI. "KIZITO référence de BAZE CRÉOLE"
04 mars 2010
IZLY, la déesse du zouk et du kompa love.
interview 2
Jean - Albert : d'où t'es venue ce nom ?
IZLY : Tout d' abord, Izly est mon vrai prénom très souvent les Haïtiens ont un prénom original.
Jean - Albert : comment as tu débuté dans le milieu artistique ?
IZLY : J’ai débuté dans le milieu artistique dès l' âge de 14 ans avec 2 amies, nous formions un trio. Nos représentations se passaient souvent au collège et sur la plage pendant les festivités des communes. Je parle des plages de la Guyane (pays où j' ai grandi). Je tiens à préciser que je suis née en Haïti. Il faut souvent le dire car les gens se trompent souvent sur mes origines. Ça vient du fait que je fais du zouk aussi.
Jean - Albert : est - ce un milieu facile en temps que femme ?
IZLY : Non ce n' est pas un milieu facile pour les femmes, car depuis trop longtemps les hommes monopolisent le devant de la scène et ne conçoivent pas qu’une femme fasse du kompa. Ils nous voient plutôt à la cuisine, à élever les enfants, à nous occuper de la maison, etc...Idée complètement arriérée !!! Les femmes d' ailleurs peuvent faire de la musique sans se battre, elles peuvent partager les scènes. Nous aussi (femmes Haïtiennes) nous avons du talent, nous avons beaucoup de choses à dire dans nos textes, nous avons des choses à partager. Et nous sommes très appréciées. Nous ne sommes pas nombreuses malheureusement, mais j' espère qu’il y en aura un peu plus qui voudront se lancer, qui ne se laisseront pas écraser et voudraient représenter notre pays Haïti.
Jean - Albert : Étant originaire d'Haïti, quelle a été ta réaction face au séisme du 12 janvier 2010 ?
IZLY : je me suis réveillée mercredi dernier et comme tous les matins je regarde les informations, j’étais abasourdie de voir toutes ces images de mon pays. j' ai senti une déchirure dans le cœur en voyant tous ces corps par terre, la terreur des survivants, ces larmes, ces cris de douleurs. Des gens qui ne savent pas où sont le reste de leur famille, ces enfants qui pleurent. Ça m' a fait mal de voir mon pays dans cet état. On a vécu tellement de catastrophe, je ne comprenais pas pourquoi on devait encore subir celle-là. En tout cas, je suis très reconnaissante de voir tous ces pays qui nous aident, tous ces dons pour remettre mon pays sur pied. De là où je suis je ne peux rien faire malheureusement, mais étant artiste j' ai participé sur 2 projets (chanson - solidarité) pour récolter des fonds. Et ça va sans doute continuer pour les spectacles; on attend les dates. Je prie pour que mon pays aille mieux au plus vite ce ne sera pas évident car les dégâts sont énormes: trop de vie perdues, les maisons complètements effondrées. Des enfants orphelins, des gens handicapés. Mais on a espoir qu’un jour ça ira mieux.
Jean - Albert : Quel est le mot de la fin ?
IZLY : je te remercie pour l' invitation pour cette interview. Mes spectacles reprendront dans quelque temps, pour l' instant on est mobilisé pour Haïti. Je prépare un album live avec 2 inédits, qui annonceront mon 4eme album solo. Je remercie tous ceux qui me soutiennent, et je continue à crier haut et fort que si on télécharge, il faut le faire légalement. Sinon il n' y a plus d' artistes.
IZLY
Née en Haïti, elle arrive à Cayenne (Guyane française) au début des année 80. Dès lors, commence l’aventure musicale de cette artiste : à 14 ans, en compagnie de son groupe composé de trois filles, elles reprennent le répertoire des « Zouk Machine ». Izly ne restera pas longtemps sur le sol guyanais et c’est en 1990 qu’elle pose ses valises en France métropolitaine. Le mélange des cultures haïtienne et française marquera bien plus la personnalité de cette jeune femme. En 1992, elle accompagne un groupe de Kompa en tant que choriste. S’ensuivent alors des enregistrements de deux titres sur la compilation " The best Kompa – Album of the World ». En 1995, est née une belle rencontre avec le groupe "KONTAK" et devient ainsi la chanteuse lead. Sa richesse culturelle transpirera dans ses textes et dans sa musique : la preuve est que dans l'album du groupe, elle écrit et interprète le titre « Ou pa la ». Ses compositions lui valent ainsi une certaine notoriété. Son talent d’artiste lui vaut ensuite plusieurs prestations avec les groupes de Kompa tels que : Zin, Skah-Shah, Top Vice,… Izly émeut le public français, afro-caribéen puisqu’on l’appelle, le 30 août 1998, à participer au festival de « l’Herde ».
Aussi, cette artiste peut se vanter d’avoir séduit, tant par sa voix que par son professionnalisme, le grand Tony CHASSEUR, en 2000 (Directeur artistique chez Créon Music) qui lui proposera ainsi de la lancer en solo… La sortie de son album en 2001 permet aux médias et à ses nombreux fans de se retrouver, d’accéder et d’apprécier les différents talents d’Izly. Réalisé par Thierry FANFANT, l’artiste côtoie les Grands de la Musique Antillaise tels que : Jean-philippe FANFANT, Thierry VATON, Tony Chasseur, Thierry DELANNAY, Bago, Nestor AZEROT, Marie Céline CHRONE et bien d'autres... Cela la mène donc vers la « Nuit du Kompa 2 » au Zénith en mars 2001, accompagné par ZIC BAND. Avec ce groupe, plusieurs prestations se succèdent en France et en Martinique… l’on découvre ainsi Izly sur différentes scènes en live avec DE MALAVOI, PHANTOMS, LAROSE, Le Missile 527, Edith LEFEL.
En Mars 2003, elle interprète deux titres sur l'album du concept « KOUD' POUSS » (Vol. II). En 2004, elle est la chanteuse phare du nouvel album « KOUD' POUSS » (Vol. II+). Dès lors, découle l’interprétation agréable et un duo avec Guerdy sur le top 20 des plus beaux slows des Antilles (3 titres sur le top boléro produit par J.C Bihary et distribué par Debs Music). Izly est donc un artiste clef de la chanson haïtienne : un nouvel album solo « Poze », réalisé et produit par Guerdy BLANC sort en 2006. A cette même période, elle reçoit le prix de l’interprète féminin de l’année ainsi que celui d’Edith LEFEL au Caribbean Music Award. Alors qu'il s’agit de « relever le défi » dans ses chansons, Izly aura en effet su relever le défi de sa vie : être à la hauteur des espérances attendues de ses fans : 2008, cette artiste est de retour avec un nouvel opus "Dangerous" (réalisé par Guerdy BLANC et sorti sous le label de « Section Zouk »). Avec son style, elle a su marier les cultures haïtienne, antillaise et française… 2009 est synonyme de renouveau, de surprise pour tout le monde puisqu’Izly a bel et bien l’intention de vous faire découvrir tout son savoir-faire dans les lives avec son groupe !
30 décembre 2009
SOIRÉE ANNULÉE
Programmée le samedi 20 février 2010 de 21h 00 jusqu'à l'aube, à la Penne / Huveaune chemin Noël Robin. Cette soirée devait accueillir le groupe compas ZYLTIK et les chanteurs zouk IMANI et carlo VISCONTI.
Très rapidement vous serez tenu au courant de nos prochaines programmations.
Les membres de BAZE CRÉOLE vous souhaitent de passer de bonnes fêtes et les meilleurs vœux pour l'année 2010.
21 décembre 2009
KREZI MIZIK ..EN FORME ET EN FORCE MARSEIILE
Certains habitués de ce genre de spectacle, l’avait déjà remarqué. Au moins une fois. Dans une autre salle. Sur une autre scène. Avec un autre groupe. Il était trop visible pour ne pas être vu. Il se faisait appelé « Black Easy » et il véhiculait comme carte de visite un sourire franc et large, enfantin et insouciant, souvent poupin.
Il sera difficile d’évaluer l’impact de sa présence au sein du groupe comme nouveau venu, pour la préparation et la mise en confiance. Mais comment imaginer le contraire puisqu’il était déjà venu dans la ville phocéenne avec Mass Compas de Gracia Delva !
En plein concert, il lui fut confié la mission de réciter une sorte de « litanie » en créole dont seuls les initiés pouvait s’arroger le droit d’exhiber des vertus qui les permettaient de détailler, comprendre et intégrer les contenus.
L’essentiel du discours consistait de la conjonction de villes et cités de plusieurs localités géographiques comme les Antilles, l’Europe, les états Unis d’Amérique, le Canada et Haïti. Black Easy retraçait l’itinéraire chargé à venir du groupe « KREZI MIZIK »
Oui, nous faisons allusion à la superbe prestation de « KREZI MIZIK » du 14 novembre dernier au Florida Palace de Marseille, lors d’une soirée organisée par l’incontournable « BAZE CREOLE ».
Avec un brin de recul, tous ceux qui se sont retrouvés proches ou dans les coulisses de l’organisation de la première réception de KREZI MIZIK à Marseille, ont vite fait d’expulser un OUF !... de soulagement l’énorme qualité de la prestation offerte par David DUPOUX et son groupe.
Tout le monde, avant l’heure H avait retenu leur souffle et fermer les yeux devant ces images de spectre de désastre à venir qu’alimentaient les rumeurs et des vérités autour de la réalité confuse gravitant les sphères de l’existence même du groupe.
Dès la signature du contrat pour la présentation du 14 novembre, une seule question retentissait avec une résonnance somme toute désagréable dans les oreilles des organisateurs et des fins connaisseurs des talents de ceux qui pérennisent la qualité du rythme créé par Nemours Jean Baptiste.
Il fut et il a été bien question du chanteur-vedette et la vedette du groupe : Monsieur Michael Benjamin !
En fait une rupture venait juste de se matérialiser et se concrétiser entre Mika et KREZI MIZIK. Le divorce, comme on dit, était bien consommé. Ce n’était point des rumeurs. Ce fut la réalité du quotidien du groupe. La presse spécialisée en parlait et en faisait des unes et de belles manchettes.
Cependant, certains caressaient encore un vœu pieux, un espoir insensé d’un arrangement pour une dernière tournée.
Les jours défilaient vite. Trop vite. Les nouvelles se faisaient de moins en moins rassurantes. Qui pis est, en Haïti, l’actualité de la farandole se concentrait sur la sortie d’un album-solo de Mika Benjamin. Il y eut même un évènement type radio-crochet intitulé « Chante comme Mika » ce genre de promotion massive qui souvent permet une réception conséquente du public.
Il faut dire que l’on accordait peu ou pas d’attention à ce qui se passait au sein du groupe KREZI dont les responsables s’attelaient au travail comme dans une ruche, pour assurer une pérennité à KREZI MIZIK après Mika ; une vie à l’essence et à l’âme de ce groupe sans Mika Benjamin.
Le recrutement de Jean Danis Vilaire (Black Easy) et de Clersainvil Tchoopy, deux musiciens de Mass Compas de Gracia Delva ; l’embauchage de James Clermont (James C) et de Stanley Georges (Stan G) s’insèrent dans cette lignée et répondent à cette philosophie. Ce fut une preuve palpable et incontournable de la volonté herculéenne de la direction de KREZI MIZIK d’appliquer et de rester fidèle à sa philosophie dont l’approche se résume dans cette réplique créole qui se chante a travers les paroles d’un merengue carnavalesque : « You solda ki tonbe, paka detwi you lame » (La mort d’un soldat ne saurait détruire une armée).
Pour maintenir le suspense jusqu’à la dernière minute, les dernières nouvelles diffusées sur les différents forums de discussion consultables sur le net, faisaient circuler, comme un coup de grâce, la rumeur qui voudrait faire croire à une interdiction imposée par l’équipe dissidente de Mika Benjamin au groupe d’utiliser le patronyme « KREZI MIZIK ». Ceci aura été, bien entendu, démenti par une voix autorisée proche des relations publiques du groupe.
Le jour J arriva. KREZI MIZIK aussi. Sans surprise. Sans Mika Benjamin. Les musiciens, sous la baguette de leur Leader, transpirèrent une quiétude et un calme contagieux. Ils semblaient être tous très sereins. Une sérénité que l’on aurait tort à attribuer à une naïveté proche du je-m’en-foutisme local.
Ce fut surtout le reflet d’une assurance basée sur l’expertise et la qualité du groupe.
Petit à petit, la salle principale du Florida Palace, vrai temple du « KONPA LIVE » s’emplit. Marseille aujourd’hui est le scénario d’une rude concurrence entre les organisateurs de soirées dansantes à thématique antillaise. A un public stable en nombre une flopée de soirées est offerte pour une même date. Cette concurrence prend souvent la forme d’une rivalité parfois méchante et déloyale. Toute la force et l’originalité de BAZE CREOLE résident dans le choix de présenter de vrais CONCERTS, faisant intervenir ce qui se fait de mieux dans l’univers du ZOUK et du KONPA DIRECT. Faire prévaloir la qualité sur la quantité reste un aspect philosophique essentiel et incontournable définissant la manœuvre de cette organisation.
Autour de minuit, après quelques mots de bienvenue, le groupe dirigé par David DUPOUX s’installa et occupa la scène. Juste l’espace des toutes premières notes et voilà le public conquis à la cause, dans un mariage sympathique mélangeant talent, performance, rythme, musicalité, intensité et animation.
Pendant plus de cinq heures, KREZI MIZIK allait faire le délice d’un public fin-connaisseur avec une prestation d’une très haute facture.
Une très belle performance pour enrichir les annales de BAZE CREOLE. Marseille, une ville qui a l’habitude de vibrer sous les coups de butoir rythmique de groupes archiconnus comme CARIMI, T-VICE ZENGLEN, SKAH-SHAH, TABOU COMBO, MASS KOMPA, de par l’intensité de l’harmonie canalisée a travers sa grande réceptivité a du remodifier sa hiérarchie.
Dave Dupoux, sans le dire, dona donc aux fans du KONPA, une réponse sonnante rythmée et cadencée à la question qui pendant de longs mois occupa les esprits. OUI, KREZIMIZIK existe bien sans et après Mika Benjamin.
Il était difficile de réaliser et d’admettre que les deux jeunes chanteurs qui ont interprété magistralement et avec brio les plus grands tubes du groupe venaient juste de l’intégrer.
Dans leur répertoire, les clins d’œil aux moins jeunes furent acceptés et acclamés avec une satisfaction non dissimulée.
Comment ne pas se sentir bien et imprégné d’un drôle de tendresse, quand on a mon âge ( ?) au son du « KONPA MANBA » de l’immortel et éternel KOUPE CLOUE interprété par KREZIN MIZIK.
Toute notre enfance insouciante et heureuse, notre jeunesse dénudée de toute préoccupation fondamentaliste se défilèrent devant nous, et nous voilà dans les rues de Port-au-Prince en ébullition sous les millions de savates de « carnavaliers » en délire, sur les chemins de Camp Perrin pendant les soirées de fêtes champêtres…
La magie de ce retour vers un passé si présent, vers le fameux bon vieux temps, quelques mots, une musique et une voix qui entonne : « la pli tonbe souvan, solèy leve tou lè jou, mwen leve maten-an, mwen jwenn jaden kè-m fleri ; mwen fomè you joli boukè, le plus jolies fleurs du jardin, la rose et le muguet, fleur de soleil chevalier de nuit… »
Les réminiscences revinrent plus tard avec une interprétation de mains de maître d’un « Mian-Mian »
Ce fut plus de cinq heure de communion avec un public qui chanta, bougea, dansa et communia avec les classiques de KREZI MIZIK.
On comprend fort bien que le groupe étale un agenda aussi chargé e plus que complet jusqu’à cette fin d’année. Et pour un groupe que l’on présentait comme craquelé, moribond, désaxé, c’est plutôt pas mal.
Dans l’euphorie d’une soirée réussite il convient de faire grâce d’un vrai coup de chapeau à BAZE CREOLE qui, encore une fois renforça son concept, toujours fidèle à sa philosophie, en élargissant la liste et le catalogue des grandes performances et de grandes présentations de soirées-concerts « LIVE » ou le groupe KREZI MIZIK occupe désormais une place de choix.
Une gentille conversation avec une voix autorisée proche du groupe nous avait permis d’élucider ou de discuter certains éléments de confusion autour de l’actualité du groupe.
Contre les langues fourchues et leurs venins, contre les esprits animés de mauvaise foi la meilleure réponse restera toujours celle de la performance basée sur le travail et la persévérance. Une performance d’une telle facture sert à rompre les lignes et bouleverser les hiérarchies.
BRAVO BAZE CREOLE…BRAVO KREZI MIZIK !
24 novembre 2009
Je suis très heureux et honoré de vous remercier de votre présence lors de la soirée proposée par BAZE CREOLE, le 14 novembre 2009.
Ainsi, Je tiens à vous faire part de ma reconnaissance, car je vous ai trouvés encore une fois très fideles, non seulement la concurrence ce jour-là, était déloyale envers BAZE CREOLE puisqu’ elle offrait des « invitations gratuites » aux personnes ayant déjà réservé leur place chez nous au ( Florida palace) afin de mieux réussir leur soirée. Mais vous, vous avez fait preuve de bon sens, en choisissant la soirée de KREZI MIZIK en live. Il est vrai qu’on ne peut point comparer un orchestre haïtien et une soirée dj. De ce fait, l’équipe de BAZE CREOLE a était touché par la confiance que vous lui témoignez.
C’était avec beaucoup de classe, que notre neurochirurgien (Dr JOLIVERT Jonas) avait changé sa blouse blanche par un costume sombre pour présenter ce talentueux groupe aux fanatiques de konpa. SOLDA KREZI à fait preuve de professionnalisme, en jouant tous leurs tubes, conçus avec créativité et passion, afin de faire vibrer le public marseillais très connaisseur et amateur de bon KONPA.
Animé par l’ enthousiasme du public, SOLDA KREZI mené par : David DUPOUX (DAVE) maestro Keyboard Player, JAMES CLEMONT (JAMES C )chanteur, STANLEY GEORGES (STAN) chanteur , JEAN DHANIS VILAIRE ( black easy) batteur pour ne citer qu’eux, a produit un spectacle d’une très grande qualité. Ils ont livrés un live de first class, qui de ce fait a marqué leur passage bénéfique dans la citée phocéenne.
Quant à moi, le titre Marie Josseline de Coupé Cloué m’a laissé un souvenir impérissable. Le duo du groupe, a laissé des traces indélébiles. JAMES et GEORGES sont devenus une combinaison vocale incontournable pour l’avenir de cet orchestre. C’est en ce sens que, BAZE CREOLE travaille avec noblesse, et dignité afin de produire ce genre d’ orchestre, le vrai Live haïtien.
Un remerciement spécial à notre artiste solo, mariah EVANS ; qui a présenté son premier OPUS « inconsolable » lors de cette magnifique soirée. Un album que je vous conseille vivement de posséder dans votre discographie. Malgré une maladresse de notre disque joker « dj » en plein milieu d’une très belle chanson, mademoiselle EVANS a su gérer sa prestation avec beaucoup de calme. Le public a aimé le personnage et son chef œuvre. Après la prestation de cette artiste, c’est moi qui suis resté inconsolable. Merci pour tout mariah « ta prestation est ancrée dans le concept de BAZE CREOLE ».
Il est nécessaire de saluer la position de notre interlocuteur, le représentant direct d’EMYLA MUSIC en la personne de monsieur Edouard DORLEANS lors de la signature du contrat avec KREZI MIZIK.
THANKS TO : Dr JOLIVERT Jonas pour sa disponibilité et son soutien, à Haïti recto verso, A NOTRE NOUVEAU PLAY- BOY ETIENNE, aux amies des forces de l’ordre de Marseille pour leur soutien à toutes épreuves, à Mamanthé et Mona georgelin, à Sébastien du Maeva, à l’équipe du black and white, à kompaclub, à dj mystic, à RCOM, à mes amis animateurs : thomas, Marcelin et Jean Marc Egard, aux compatriotes qui soutiennent les efforts de BAZE CREOLE qui lutte pour marquer l’ existence de notre communauté avec sagesse dans ce milieu impitoyable.
Ce week-end du 14 novembre a était vraiment très agréable et instructif pour BAZE CREOLE. J’espère avoir à nouveau l’occasion de vous guider et vous entendre crier le 20 février 2010, dans un nouveau lieu aussi accueillant que Florida palace ; avec un autre orchestre aussi professionnel que le précédent. Le programme sera inédit et chaud.
Fantôme
P. Faustin